Première Guerre pour Claptus

Première Bataille pour le système Claptus

Les événements débutent en M33, A138, J105, 10H52 au compteur de Terra. Les événements sont relatés par un space marine vétéran des Emperor’s Hammers. Mais retranscrit parun scribe qui réécrit ces moments mémorables dans des ouvrages neufs, les autres ayant plusieurs milliers d'années, ils tombent en poussière.

Ce jour là, juste après l’entraînement matinal, notre frère-sergent nous donne l’ordre de nous rendre dans la salle de réunion de la forteresse. Cette salle est la plus grande du monastère et c’est ici que le chapitre se réuni chaque année pour célébrer la première mort du primarque démon Perturabo de la main de maître Tenathis, un des maîtres de notre chapitre.

Comme beaucoup de chapitres spaces marines, nous sommes « nés » de la seconde fondation, lors de l’éclatement des légions spaces marines restées loyales à l’Empereur, nous descendons du chapitre renégat des IronWarriors dont nous avons juré la mort. Voici notre histoire. Lors du gigantesque conflit que fut l’hérésie d’Horus, une centaine de marines de l’Iron Legion s’empara d’un vaisseau et fila droit vers Terra pour informer le divin Empereur de la traîtrise que leurs frères avaient commis. Lors de leur arrivée, ils furent mis en prison car leur chapitre avait été déclaré excomuniate traitoris. Ils attendirent longtemps, lorsque leur vint un message de Rogal Dorn qui leur disait qu’Horus et les légions l’ayant rejointes sont en train de s’approcher de Terra pour mettre un terme à la vie millénaire de l’Empereur. Cette lettre leur disait aussi que pour prouver leur foi envers leur créateur ils devaient converger vers le palais impérial pour défendre la salle du trône. Les marines acceptèrent et virent que le palais était sur le point d’être assiégé. Ils se hâtèrent d’entrer et de trouver la gigantesque salle et se préparer à leur mission. Lorsque les forces renégates percèrent les murailles et entrèrent dans la salle où trône notre guide, l’Empereur se téléporta ainsi que Dorn et Sanguinius dans la barge amirale des flottes du chaos, laissant les custodes et les IronWarriors loyalistes contre la horde infinie. L’histoire de la mort d’Horus est connue de tous mais celle de la centaine de marines restés dans le palais l’est beaucoup moins. Ils résistèrent tellement que les forces renégates ne parvinrent pas à tenir un poste dans la gigantesque salle et faisaient payer leur mort au centuple avec les derniers custodiens. Lorsque l’Empereur brisé et ses suivants revinrent dans le palais, il restait encore une soixantaine de marine debout bien que tous étaient blessés au moins légèrement. L’Empereur lui-même demanda à ce que ces marines reforment leurs rangs grâce à des gènes donnés par les Imperial Fists et leur donna une planète à diriger. Voici l’histoire de la création de mon chapitre.

Ce jour là, notre maître a rassemblés tout les effectifs des Emperor’s Hammers disponibles. La troisième compagnie était en guerre contre des Eldars près du système Inquisitorial de San Leor et manquaient donc à cette réunion. Ce rassemblement regroupait tout de même près de neufs cent marines et devait donc être très important pour que nous ne fussions réunis que maintenant. Zenon, le maître actuel des Emperor’s Hammers nous annonçait qu’un space hulk approchait et que plusieurs vaisseaux impériaux de l’Adeptus Mechanicus étaient partis l’explorer. Le problème est qu’il n’était pas vide mais rempli de vermine verte. D’après les calculs des savants de la planète, le conglomérat de vaisseaux approchant touchera terre dans trois jours et quelques heures et d’après sa taille devrait abriter un demi millions d’Orks sans parler de leurs véhicules. Lors de ces paroles, aucun marine ne cilla au savoir que près de cinq cents milles Orks avide de batailles sanglantes étaient en approche de la planète. Lorsque le discours fut terminé, les marines se dispersèrent rapidement pour mener à bien l’évacuation des forges et des usines. Les ruches devaient être renforcées. Les Skitariis de l’Adeptus Mechanicus et les sœurs de bataille de l’Ordre du Sang Bleu furent déployés pour protéger les structures de défenses. Les deux titans Warlord et la demi-douzaine de Warhound partirent à une cinquantaine de kilomètres de la ruche de Claptus Primus pour former une escouade quasi-invincible et pouvant détruire n’importe quoi. Nous fûmes ensuite redéployés dans nos vaisseaux orbitaux pour effectuer des frappes très ciblées, brutales et sanglantes sur l’arrière des xénos. Le plan était parfait. D’après les calculs, moins de dix marines périraient dans ce conflit et seulement quelques dizaines de skitarii et de sœurs de bataille mourraient pour sauver cette planète.

Deux jours plus tard, nos silos à laser commencèrent à tirer sur l’énorme vaisseau dont plusieurs immenses morceaux se détachèrent pour finir par brûler dans l’atmosphère. Puis vint l’aube du troisième jour, où un choc vint ébranler la planète. Le vaisseau venait de s’écraser à une centaine de kilomètre de la ruche Primus. Dès lors la barge dans laquelle j’étais stationné se mit à tirer des torpilles sur le site sans toutefois viser directement le space hulk car il devait receler des merveilles technologiques. Il s’est passé une heure depuis « l’atterrissage » du vaisseau, et les orks arrivèrent enfin aux portes de Claptus Primus. La résistance fut farouche. Mais au bout de seulement une demi-heure de combat, les défenses commencent à céder à plusieurs endroits pendant que nous nous téléportions au sud de la cité pour les aider et on nous annonça que les titans ont déjà éradiqué les xénos du coté nord. En quelques heures il ne restait que très peu d’orks survivant qui fuyaient vers le lieu du crash du space hulk. Ceux qui arrivèrent à faire marcher une mini navette parvinrent à quitter l’atmosphère de la planète en essuyant des tirs de notre part, mais les fuyards ne furent pas poursuivis. La bataille était déjà finie. Plusieurs équipes du dieu Machine se ruèrent sur le site où était censé giser le space hulk mais ces derniers ne trouvèrent qu’un trou béant s’enfonçait dans les entrailles de la planète. Une escouade de skitarii descendis et ne revint que plusieurs heures après en disant qu’ils ne sont remontés qu’à cause de la radio qui ne parvenait plus à émettre ni ne recevoir d’ondes, mais que le trou continuait encore en dessous d’eux...

Une semaine plus tard, un rassemblement identique est organisé, aussi hâtivement que le premier. Mais cette fois, Zenon nous annonça que près de deux douzaines de vaisseaux identifiés comme des spaces hulks convergeaient vers Claptus. Le premier vaisseau était minuscule d’après lui comparer aux tâches immenses que cette flotte laisse sur le radar géant posté sur le satellite naturel de la planète. L’impact se fera environ au même endroit que le premier crash et sera dans environ une semaine vu l’immensité de cette armada de l’espace...Pourtant aucune demande de secours n’est envoyée même si les loyalistes pourraient en avoir besoin. Pendant six journées, les forges tournent à plein régime et parviennent à construire trois titans Reaver, et un autre titan Warlords et quelques land raider. Les ouvriers furent ensuite intégrés dans les rangs de la garde impériale en tant que conscrits pour tenir les cités qui, entre-temps, furent grandement renforcées. Des silos de laser se présentèrent de partout autours des ruches pour renforcer le potentiel anti-spatial de la planète. Ces mêmes silos tirèrent sans arrêt, deux jours précédant l’attaque...des tonnes de débris jonchèrent bientôt l’espace intersidéral. Les spaces hulks étant dépourvus pour la plupart d’arme de tir performantes, notre flotte combinée à celle de la garde impériale purent s’en prendre à cette armada. Tout laissais penser que nos ennemis étaient des orks car ceux-ci aiment une bonne « baston » comme ils disent et gagnent par la masse déployée contre un objectif, il ne faisait nul doute que chacun des vaisseaux abritait plusieurs millions d’orks avec les véhicules qui vont avec. Les survivants xénos étaient sûrement allés alerter leurs copains pour dire qu’il y avait une bonne bataille à faire sur cette planète.

Le premier hulk s’écrasa à moins de cinquante mètres de l’ancien crash. Depuis que ceux-ci furent à portée de tir, ils perdirent six vaisseaux et tout les autres avait des dommages souvent flagrants dans leur coque. Les orks étaient plus pourvus en véhicules que les derniers que nous avions affrontés. Plusieurs gargants et grand gargants débarquèrent des autres « cargos ». L’escouade de titans commença à foncer sur leurs homologues orks. Un combat âpre s’engage et des milliers de peux vertes finirent écrasés par les pieds des machines gigantesques. Malheureusement les titans Warhounds et Reavers subissent de gros dégâts et s’autodétruisent pour tuer le maximum de xénos. Les Warlords, bien qu’en sous effectif comparés aux dizaines de machines orks, tinrent bon et parvinrent à détruire la majorité des constructions orks sans trop de dégâts importants. Ils rentrèrent toutefois à la ruche Primus pour être réparés le plus vite possible. Cette attaque avait certes coûté beaucoup de matériel et de vies mais déjà les orks étaient privés d’une bonne partie de leur soutien alors que nous avons toujours le notre en moyen état. Une petite heure plus tard et les barbares verts arrivèrent aux portes de Claptus Primus et de Claptus Tercius. Les tanks de l’Adeptus Mechanicus trouèrent la formation orks mais ceux-ci étaient tout de suite comblés tant il y avait d’extraterrestre. Les défenses, bien que très résistantes finirent par céder dans la ruche Tercius et nous intervinrent pour tenter de sauvegarder autant de vie que possible. Mais une fois arrivés, nous voyons que ce n’est pas réellement la peine car les défenseurs avaient déjà construit des barricades avec des postes d’armes lourdes pour résister plus longtemps. Nous arrivâmes tout de même à repousser la marée verte. Celle-ci se retira et sembla converger vers Claptus Quintus. Pendant ce temps, la cité Primus résistait bien mieux grâce aux postes de canons lasers placés sur les toits des tours de défenses et aux bolters lourds disséminés sur toute la ceinture qui prélevèrent de lourdes pertes du côté xénos alors qu’aucunes pertes ou presque n’était à déplorer du côté impérial. Nous quittâmes la cité Tercius pour aller renforcer Claptus Quitus qui va sûrement subir l’attaque des orks rescapés de la ruche numéro trois.

Nous étions retranchés dans des bunkers et des avants postes pour recevoir la charge des xénos. Ce que nous n’avions pas prévus c’est que celui-ci ne se dirigea pas vers nous mais vers Claptus Secundus qui n’était qu’à quelques dizaines de kilomètres d’ici. Nous fûmes téléportés immédiatement dans la barge et renvoyés aux abords de la cité au bout d’une heure, les batteries de téléportation étaient trop faibles pour nous rediriger, nous la moitié de la première compagnie et la cinquième au complet. Cette dernière n’existait plus...la waaagh l’avait détruite en un minimum de temps...nos hommes repartir dans un flash bleuté avec une grande tristesse, plusieurs milliard d’innocents étaient mort alors qu’ils étaient censés les protéger. Cette fois aucun doute à avoir, notre contingent réapparu dans les mêmes endroits où nous attendions les orks il n’y a que quelques heures. Les orks étaient à moins de dix mètres de nous lorsque nous arrivâmes. Nous ouvrîmes le feu sur la horde et parvinrent à tuer plusieurs centaines de peaux vertes jusqu’à ce que les munitions s’amenuisent et finirent par manquer. Le corps à corps était inévitable...même les devastators nous accompagnant préparèrent leurs lames...l’assaut fut très dur pour moi et mes frères, plusieurs marines tombèrent au sol en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Nous soutinrent la charge et parvinrent à repousser tant bien que mal l’assaut. La moitié de notre bataillon gisait au sol, l’apothicaire recueillant les gènes du chapitre et soignant ses frères blessés. Puis on nous a informé que la ruche primus avait gagné la bataille mais que tous les titans avaient été détruits durant l’assaut des peaux vertes. On nous déclara aussi que si la cité subissait une autre attaque, ce serait la fin de cette dernière. Vu que cette ruche était le centre administratif et donc le point stratégique le plus grand, deux compagnies et demi furent basées dans les ruines des premières lignes avec des stocks de munitions pour tenir plusieurs jours sans avoir besoins de qui que ce soit ni de quoi que ce soit.

Nous fûmes envoyés sur la ruche Quatrus car c’était la seule battisse à n’avoir subit d’attaque, cela se comprenait fort bien car elle était plus ou moins « cachée » du site du crash par et dans une forêt inextricable. La neuvième compagnie fut affectée pour renforcer la troisième ruche au cas où les xénos attaqueraient encore. Nous nous vîmes renforcés par une division blindée de sœurs de batailles et de deux pelotons skitariis. Nous campions sur nos installations, sûr que l’ennemi ne nous avait pas vu. Mais il en était tout autrement lorsqu’un scout blessé sorti de la forêt. Il nous annonça que des bandes d’orks avaient encerclés la ruche, ramenés de l’artillerie et allaient lancer une attaque imminente sur notre cité pendant que les canons nous pilonneraient...ce plan signait notre arrêt de mort si ce soutien n’était pas détruit. Un commando composé de vétérans rescapés de la bataille pour Claptus Tercius reçu l’ordre d’anéantir les pièces d’appui orks. Moi et une demi douzaine de marines reçurent des réacteurs dorsaux et nombres de bombes à fusion. Le scout blessé nous fit un plan détaillé de la partie qu’il avait exploré et nous avoua que c’était lorsqu’il avait tenté de détruire un lobba que les orks l’avaient repéré et lui avait tiré dessus. Alors que nous commencions notre ascension dans les cieux pour trouver les emplacements d’artillerie, plusieurs explosions retentirent au loin. Notre forteresse-monastère subissait l’attaque des xénos. Mais protégée par ses épais murs en adamantium, et armée jusqu’aux dents, les xénos n’avaient aucunes chances de succès. Pertras aperçu un rassemblement de basilisks volés qui étaient en effervescence, sûrement due au fouet de l’ork qui ruait de coup les gretchins pour qu’ils travaillent plus vite. Nous fondîmes comme un aigle sur un mulot et nous ne prîmes le temps que de régler nos bombes à fusions pour une explosion immédiate et pour être sur de ne subir aucune perte en retour. La batterie de véhicule explosa en calcinant une zone d’une centaine de mètres de diamètre alors que nous reprenions de la hauteur. La première intervention avait été un grand succès. Nous vîmes une déflagration en pleine forêt et nous conclûmes que les orks allaient commencer leur attaque. Nous nous séparions pour avoir un effet plus grand mais aussi dévastateurs mais aussi pour avoir une chance de détruire toute l’artillerie à temps. Quelques minutes passèrent. Les premiers tirs de soutien zébrèrent le ciel pour retomber soit de l’autre coter de la ruche, tuant leur propres troupes soit pour toucher une partie haute de la ruche, ce qui ne faisait aucun problème vu que la population s’était rassemblée dans le centre de la ruche pour se protéger des tirs et des assauts. Maintenant que les cibles n’étaient plus à chercher, je larguai plusieurs bombes sur les endroits d’où venaient les tirs assourdissants. A priori mes frères faisaient de même car des explosions retentissaient puis un léger silence s’installait le temps qu’un autre lobba ou basilisk n’ai fini de recharger et ne tire un autre obus avant d’être détecté par un des marine et finalement détruit par la bombe à fusion que ce dernier lançait dessus. Une fois que l’artillerie fut détruite intégralement nous revinrent à notre base et nous constatons qu’il n’y avait pas eu d’attaque des orks, ceux-ci étaient bien sortis de la forêt en poussant leur cri de guerre mais avaient tout de suite été prit pour cible et détruit par les loyalistes. Avec leur artillerie anéantie, le moral des extraterrestres était au plus bas. Ils finirent par fuir en direction des spaces hulks.

Nous recouvrîmes quelques forces avant que l’on nous communique nos nouveaux ordres et objectifs. Nous devions attaquer le campement ork au milieu des space hulks. La totalité de la première, deuxième,quatrième et cinquième compagnie soutenue par un feu nourri des devastators de la sixième et les marines d’assaut de la septième allaient lancer l’attaque sur les monstres d’aciers qu’étaient les spaces hulks. Je savais que c’était une mauvaise chose car les orks aiment les assauts frontaux, mais détestent les attaques éclairs comme nous avions utilisés quelques heures plus tôt. Cela ne faisait que trois jours que le début des hostilités avait commencé. Nous allions attaquer de nuit pour un effet plus dévastateur et surtout pour n’être détecter que le plus tard possible, car avec nos armures argentées, le soleil se réfléchi beaucoup dedans et nous sommes aisément repérable. Nous nous déployons en un cercle parfait, avec toutes nos troupes dans des rhinos ou des razorbacks ou sur une butte pour fournir un meilleur soutien. Même notre maître participait à la bataille avec son Land Raider Crusader personnel et j’eu l’immense honneur de me battre à ses cotés. (Note du scribe : ce même Land raider Crusader est toujours utilisé de nos jours par Ardias et à donc au minimum 7000 ans d’âge) L’attaque débuta à minuit, tous nos chars avancèrent et des missiles de whirlwinds fusèrent vers les orks et en tuèrent quelques uns. Pendant quelques minutes l’anarchie semblait s’être installée, mais lorsque le big boss sorti de son bunker, les orks se rassemblèrent vers lui et ne cédèrent plus à la panique. Les devastators arrêtèrent leurs tirs de soutien lorsque les marines d’assaut arrivèrent sur le rassemblement ork comme un aigle qui chasse un mulot. Une demi minute plus tard, les rhinos étaient arrivés et débarquaient les marines tactiques. Le Crusader de Zenon ne s’arrêta pas et continua jusqu’à trouver le chemin du big boss. La charge des 14 vétérans et de Zenon fut terrible. Les orks n’avaient pas le temps d‘avancer ou de frapper qu’ils mourraient dans d’atroces souffrances. Soutenu par quelques marines d’assauts, le combat finit pas se fracasser sur le Boss Ork et sur sa suite de Nobs. Zenon et le peau verte s’affrontèrent dans un déluge de coup, chaque coup parvenant à traverser la garde de l’adversaire était arrêté par les champs énergétiques portés par les deux géants. Nous nous battions comme des diables contre les nobs et finirent par les exterminer en ne subissant « que » la perte d’Aradiel, qui fut rapatrié en deux parties dans le tank. Le combat entre le maître et le puissant xenos s’éternisait. Les orks mourraient bien que prélevant un lourd tribut dans nos troupes. L’ork eu un sourire et se laissa marteler de coup dans tout les sens du terme. Il décéda suite à un coup de trop à sa tête. Mais alors que leur boss mourait, les orks qui auraient dus fuir ne cédèrent pas à la panique. Nous comprîmes que trop tard que le corps du géant ork était possédé par un démon. Nous sonnions la retraite car des dizaines de démons mineurs apparurent près du démon majeur de Nurgle alors qu’un vaisseau que nous n’avions pas détecté sur nos radars apparu...Nous commencions à nous retirer, le vaisseau se posa à côté des restes pitoyable du seigneur ork. Le Grand Immonde regarda ce qui allait sortir comme si ça l’amusait. Un homme avec une grande cape et un marteau semblable à celui que porte Zenon. Accompagné de plusieurs chérubins, d’un savant et de plusieurs guerriers lourdement armés, l’Inquisiteur chargea droit le démon. Notre maître nous redit à ce moment précis de reprendre l’attaque. Il chargea avec notre escouade le monstre qu’était le grand immonde. Les nurglings et les portepestes étaient chargés par les vaillants marines. Lorsque le serviteur de l’Empereur cria le nom « Venomdeath Fatglop », le diable de nurgle fut ébranlé. Il ne frappait plus avec la même force et semblait beaucoup plus faible. Par radio on nous transmis que la forteresse monastère allait s’autodétruire car les orks avaient prit la majorité des forts et des pièces et que ce serait presque impossible de les déloger. Il ne restait que trois marines encore vivants et quatre serf dont trois étaient des serviteurs d’arme dans la forteresse pour au minimum un million d’ork. Le bouton d’autodestruction étant dans l’armurerie, les derniers survivants se retranchèrent dans cette salle. Mais Zenon leur dit de résister tant qu’ils pourront, ils allaient terminer la bataille de la plaine des hulks puis ensuite se téléporter dans la forteresse pour les aider à tuer la vermine verte. Cependant, dans la steppe, les démons tuaient beaucoup de marines en ne subissant que très peu de pertes. Mais leur nombre s’amenuisait de plus en plus et il n’en restait qu’une demi douzaines alors que la compagnie de devastators arrivait pour nous prêter main forte. Le démon majeur était aussi en grande difficulté, le talent de Zenon au combat combiné à celui de l’inquisiteur et de leurs armes blessaient grièvement le démon, celui-ci fut banni et n’arriva même pas à emporter plus que deux chérubins...les derniers orks et démons se dispersèrent rapidement. Les équipes dépêchées par l’adeptus mechanicus arrivèrent sur place pour « ferrailler » les space hulks et pour voir si des restes de merveilles technologiques n’étaient pas enfouis dans ce conglomérat. Alors que nous étions téléportés dans les barges de batailles, les trois derniers marines de la forteresse nous contactèrent. Bien qu’il y eu beaucoup d’interférences, ils expliquèrent que les corps des orks tués avaient bouché l’unique couloirs menant à leur pièce et que ces derniers poussaient les corps pour avancer, mais ils affirmèrent qu’il pouvaient tenir encore une demi journée environ. Cela me rappelais l’histoire de notre chapitre, la résistance du palais impérial. Nul doute que s’ils en réchappaient, ils seraient promus aux effectifs de la première compagnie. Mais le temps était de recharger les générateurs de téléportations et de monter dans les modules d’atterrissage pour attaquer notre propre forteresse. Zenon espérait qu’aucun ork n’avait pénétré dans la salle où les gènes des Imperials Fists et les corps de la centaine de marines des Iron Warriors étaient conservés, il n’y avait que très peu de chance pour qu’il ai trouvé comment ouvrir cette salle. Les premiers Drop Pods partirent se poser en direction de la forteresse. Quelques minutes passées, tous étaient partis. Dans les dix prochaines secondes, c’est moi qui serais téléporté ainsi que les reste de la première compagnie. J’étais entouré de lumières bleutées puis je me retrouvais dans le noir absolu, enfin je touchais terre et commençais à tirer sur les orks surpris de nous voir débarquer à l’improviste. L’effet de surprise est total, surtout que nombre d’orks doivent être dans le tunnel menant à l’armurerie. Les premiers Drop Pods arrivent et se posent sur le toit du monument qu’est la citadelle du Marteau. Rapidement les dévastators se placent idéalement pour que nous n’ayons pas à gaspiller nos bolts. Moi et mon escouade pénétrons dans la salle du trône, étonnamment il n’y a plus personne...nous passons dans la salle commune. Pas une âme qui vive...nous arrivions devant l’entrée du couloir menant à l’armurerie, avec de grandes piles de cadavres d’orks, lorsqu’une rafale de bolter m’atteignit en plein thorax. Voyant que mon armure avait détourné tous les bolts, je fis une prière pour l’Empereur pour m’avoir sauvé puis je décidai de m’engouffrer dans le couloir sans plus attendre. Aucun tir n’était à signaler, mais alors que j’arrivais vers une pile d’orks mort bouchant au trois quart le passage, un serviteur d’arme vint m’accueillir. Je fus très surpris et demanda tout de suite où et comment allais les trois marines qui étaient avec eux. Il me répondit qu’ils avaient à eux seuls tué des milliers d’orks et qu’il avaient réussi une sortie pour détruire le moral ennemi. Cette sortie avait due marcher vu que plus aucun orks n’était dans la forteresse d’après les différents rapports que j’eu entendu à ce moment. Mais alors que je redemandais où étaient les marines, mon officier m’intima de regarder par une meurtrière. J’eu le souffle coupé suite à cette image. Trois marines courraient derrière au moins trois milles orks ! Ils étaient chargés de munitions en quantité et tiraient sur la horde tout en courrant. Le chapitre aurait vite fait de marquer ces noms dans le livre des hauts faits de nos frères. Les orks n’ayant pas cru bon de mettre hors service les caméras nous avons pus immortaliser le moment où ces trois marines pourchassaient les orks. Les autres vidéos furent envoyées à l’Ordo Xenos pour qu’ils étudient le comportement des orks lorsqu’ils prennent une forterresse. Les orks n’ayant plus de chefs continuèrent de fuir jusqu’au site de crach des spaces hulks. Des cohortes de skitariis les attendaient et tuèrent la vermine orks avec les trois marines qui venaient de parcourir plus de cent kilomètres sans s’arrêter et portant des kilogrammes de munitions.

Ainsi pris fin la première guerre pour Claptus. L’épave perdue du Imperium Glory, croiseur impérial de classe Emperor et du Thunder, barge de bataille des Whites Scars furent retrouvées et remissent en état pour être rendus à leurs différents propriétaires. Nous avons tout de même vu que la planète était vulnérable à un assaut d’envergure et fut renforcée en conséquence. Des Silos à missiles Terre-Espace et des murs en plastbétons avec des milliers de postes d’armes lourdes furent installés dans les ruches. Vu l’importance de la ruche primus, il fut coulé un mur de deux mètres d’épaisseur formant un dôme au dessus de la ruche avec seulement quatre entrés et des milliers de milliers de meurtrières pour tirer parti de toutes les ressources humaines (note du scribe : nous verrons plus tard que cette attaque à donné nombre de leçons à Claptus en ce qui concerne les attaques en masse). Plus d’une sixième des marines avaient tout de même péris, mais dans une centaine d’année, personne ne remarquera ce détail. Les trois marines, Kruger, Demeter et Aaron furent recueillis par le chapitre, inscrit dans le livre des héros et leur exploit marqué dans le livre des hauts faits du chapitre. La citadelle du pôle nordique fue totalement repensée pour offrir plus de points de résistance et pour accueillir plusieurs milliards de réfugiés (note du scribe : ce fut une des choses qui favorisa les défaites ennemies des deux batailles suivantes.)